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Conseils pour réussir en prépa

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S’engager dans une Classe Préparatoire et qui plus est BCPST nécessite d’être prêt à respecter un certain protocole pour sa vie personnelle et d’adopter un mode d’apprentissage bien plus exigeant qu’au lycée. Les conseils utiles de nos professeurs.

Ayez une hygiène de vie irréprochable, c’est-à-dire :

    • Dormez bien sûr, régulièrement et suffisamment.
    • Et … sachez mettre votre vie sociale momentanément « entre parenthèses ».

Apprenez à travailler efficacement, c’est-à-dire :

    • Travaillez beaucoup mais sachez trouver votre propre rythme, identifiez les moments où vous êtes le plus efficace.
    • Identifiez vos vrais points forts et appuyez-vous dessus au maximum.
    • Travaillez sur vos points plus faibles.
    • Adoptez un rythme de travail élevé et régulier dès le début, tous les jours, sans à-coups. Une prépa est une épreuve de longue haleine.
    • Ne travaillez pas dans l’urgence, c’est le plus souvent improductif. C’est dans l’acquisition régulière et incrémentale des connaissances que se construit un véritable corpus de savoirs, cohérent et complet, à la hauteur des exigences des concours.
    • Travaillez avec intelligence … c’est au cours des années de prépa que vous apprendrez à apprendre, en vous appropriant les connaissances, en vous efforçant de maitriser, de comprendre, pour mieux apprendre.
    • Souvenez-vous : comprendre un cours, un enseignement, c’est donner du sens, de la cohérence à un ensemble de savoirs, les connecter entre eux, les questionner comme on questionne un concept, pour lui faire dire tout ce qu’il a à dire.

Faites des professeurs vos alliés …

    • Quels que soient les rapports que vous avez entretenu avec ses professeurs au lycée, parfois conflictuels, souvent restreints au strict cadre de la classe, les choses changent en prépa. Maturité oblige, vous vous apercevrez que l’équipe pédagogique qui vous entoure est avant tout un soutien, et vos professeurs des alliés.
    • Les professeurs sont à l’écoute, à la disposition de chacun, disponibles pendant les cours, à l’occasion d’un inter-classe, et joignables le plus souvent via un blog, leur courrier électronique, voire WhatsApp …
    • Vous êtes, en tant qu’élève dans le même navire que vos professeurs, la réussite des uns est conditionnée au succès des autres. Cette disponibilité de tous les instants, privilège des classes préparatoires, est une chance qu’il faut absolument savoir saisir.

Savoir travailler avec les autres

    • Le concours est individuel certes, mais l’apprentissage est plus performant en groupe. Le travail à plusieurs est indispensable, et s’il est nécessaire d’être seul et au calme pour apprendre, l’isolement systématique est rarement bénéfique.
    • Les échanges sont constructifs et participent de l’apprentissage. Il faut échanger, avec les professeurs évidemment, mais aussi avec les autres élèves, constituer des petits groupes de travail pour réfléchir, tester des idées, vérifier sa bonne maitrise d’un cours en l’exposant à d’autres. C’est en verbalisant une leçon, en la restituant avec ses propres mots, sa propre vision, que vous vous apercevrez si vous avez réellement assimilé un cours.

Alors, une prépa, oui, mais pour quels bénéfices ?

Pour l’étudiant que vous êtes ou serez, la prépa va constituer une véritable révolution.

Il ne s’agira plus d’empiler des savoir-faire ponctuels, de « bachoter ». En prépa, on est en présence d’un corpus organisé de connaissances qu’il est illusoire d’essayer d’ingurgiter sans intelligence. Il faut se découvrir « intelligent », et, heureuse surprise, ça marche !

Bénéfice immédiat, bien avant les concours : l’intelligence désormais apprivoisée se développe naturellement, déploie ses ailes. Et elle en redemande ! On se surprend à vouloir en savoir plus, aller plus loin ; on essaie, on imagine, on croise les savoirs, on change de point de vue, on questionne les concepts.

Il est bien loin le temps du « à quoi ça sert ?  A quoi ça sert d’apprendre tout ça ?» question lancinante qui angoisse le collégien, le lycéen, et qui accessoirement irrite le professeur.

La classe préparatoire, c’est le temps de la maturité, tout simplement…

En prépa, on apprend pour soi. Le bénéfice est intellectuel donc, mais aussi humain.

Riche intellectuellement, la prépa se révèle riche humainement. Rien d’étonnant à cela. Vous vous construisez, vous découvrez, découvrez le monde et les autres. Tous les anciens vous le diront : c’est en prépa que se construisent les amitiés authentiques, solides, durables.

Les années de prépa sont donc un temps privilégié, d’authenticité, de découverte de soi et des autres, et de construction de bases solides pour une vie professionnelle et sociale réussie.

Une prépa, c’est à la fois un fitness-centre et une école de développement personnel : mise en forme intellectuelle, psychologique, bien être, épanouissement, apprentissage de la collectivité. Voilà le programme. Mais il faut jouer le jeu.

Classe Préparatoire : une opportunité, un challenge

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Être prêt à se surpasser pour réaliser ses rêves …

Au fil des décennies, traversant les différentes réformes de l’Education, les changements de programme, les nouvelles filières, la Classe préparatoire demeure, qu’on le veuille ou non, la « voie royale », celle qui mène aux Grandes Ecoles ou aux filières d’élite, fleurons de l’enseignement supérieur français, dont la réputation est croissante, y compris à l’étranger.

Avant de s’engager dans cette voie, il faut cependant prendre conscience ce que de telles études impliquent pour et sur soi, afin de pouvoir s’y investir en toute connaissance de cause. C’est une condition indispensable pour réussir dans ces parcours dont on ne soupçonne pas les exigences lorsque l’on vient juste d’obtenir son baccalauréat.

Faire le choix de la Classe Préparatoire n’est en effet pas un acte neutre. C’est un engagement fort :

  • En premier lieu, vis à vis de soi-même, de son entourage familial, de ses amis …
  • mais également vis-à-vis l’Ecole qui vous accueille, de ses professeurs, ceux qui vont vous accompagner durant deux voire années.

Cette décision, mûrement réfléchie, ne doit, lorsqu’elle est prise, souffrir d’aucune remise en question. L’investissement devra être total, sans concessions. Pas de demi-mesure, il faudra travailler sans relâche, sans se retourner, s’interdire les « je m’y mets après les vacances » …

Il faut bien prendre conscience, qu’en matière d’apprentissage, c’est en classe préparatoire que les choses très sérieuses commencent vraiment …

La prépa constitue plus qu’une marche entre le secondaire et le supérieur, c’est un obstacle qu’il va être difficile de franchir par tous. Et, si un bac scientifique a pu être obtenu sans trop de difficultés, y compris avec une belle mention, vous donnant l’impression d’une certaine maîtrise de votre part ou encore étant le signe de capacités prometteuses, il n’est en rien être un gage de réussite en prépa.

L’enseignement au lycée est devenu hélas au fil du temps moins exigeant, moins orienté sur la théorie et les savoirs, et plus vers les savoir-faire et l’applicatif.

En revanche, et même si on y trouve de récentes modifications, un inévitable mouvement vers plus d’application des contenus – présence de l’ordinateur, algorithmique etc.-, les programmes des classes préparatoires restent rigoureusement structurés autour de concepts théoriques qui exigent un travail approfondi dans la durée.

Le choc est donc rude pour le nouvel étudiant : on attend de lui qu’il travaille beaucoup plus et surtout beaucoup mieux qu’au lycée.

On exige de lui une parfaite maitrise du cours, et une restitution ordonnée et argumentée des connaissances, aussi bien à l’écrit qu’à l’oral.

Et cela, dès le premier jour et jusqu’aux concours. Sans relâche.

Prépa BCPST : faut-il travailler pendant les vacances d’été ?

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Voici quelques conseils pour le passage entre sup et spé en prépa BCPST. Ces recommandations sont aussi valables pour les 5/2.

Travail ou repos ?

Cela semble évident pour certains, mais rappelons-le : les vacances d’été sont faites pour se reposer ! Il faut absolument prendre un break avant l’année des concours, qui sera intense. À l’inverse, ne décrochez pas pendant 2 mois, car le retour à la réalité – équations différentielles du second ordre, accélération en coordonnées sphériques et j’en passe – serait difficile.

Il est nécessaire de se remettre en jambe au minimum pendant deux semaines, si possible en aout, avant la rentrée. Selon moi, la durée optimale est 4 semaines de travail pendant l’été, mais écoutez-vous et ne vous fatiguez pas trop.

Quoi travailler ?

N’essayez pas de tout faire. Travailler une journée chacune des matières – biologie, maths, physique, chimie, géologie, géographie, français, anglais – ne vous fera pas miraculeusement progresser.

En revanche, il pourrait être utile de mettre un coup de fouet sur votre (ou vos) matière(s) faible(s), en les travaillant posément. Si vous avez du mal à travailler le cours de votre professeur, n’hésitez pas à changer d’approche en travaillant sur un livre.

Si vous n’avez pas envie de passer 3 semaines à réapprendre toutes vos réactions de chimie organique, pensez aussi aux matières que vous négligez souvent.

Idée 1 – Prenez de l’avance sur le TIPE

De nombreux élèves prennent un temps considérable à choisir leur sujet en cours d’année. Démarquez-vous et lancez-vous l’été ! Faites-vous relire par un de vos enseignants pour éviter de vous lancer sur une idée trop hasardeuse.

Idée 2 – Travaillez la langue de Shakespeare

Profitez de l’été pour lire des textes en anglais et écouter la BBC, et apprenez de vos erreurs en relisant vos DS.

Idée 3 – Les livres de français

Lisez les livres de français – et pas seulement le résumé cette fois-ci… on vous connait. N’oubliez pas que le français compte autant que l’épreuve de synthèse de biologie pour Véto et pour l’Agro.

Comment s’organiser

Travailler pendant l’été, cela ne veut pas forcément dire travailler de 8h à 23h. Trouvez un rythme régulier, par exemple travailler tous les matins, ou jusqu’au milieu d’après-midi.

Trouvez un endroit calme pour travailler. Un café, une bibliothèque, un parc sont souvent des endroits plus tranquilles que le salon ou votre petit frère joue à la console. Pour garder la motivation, vous pouvez travailler en binôme.

En résumé, l’été doit vous permettre de vous reposer, mais aussi de vous remettre en selle dans les matières que vous avez négligées pendant l’année.

Bon courage avant la spé.

Aurélien Archereau, enseignant en physique-chimie en BCPST2 au Lycée Saint-Hilaire

Bien travailler en prépa, cela veut dire quoi ?

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Par Julie Egée, professeur, Prépa BCPST de l’Ecole Saint-Hilaire et responsable du laboratoire

 

Les élèves entrant en classe préparatoire sont tous surpris par le rythme et les méthodes de travail qu’ils y découvrent. La barre est haute, rien ne ressemblance aux méthodes du lycée et le temps d’adaptation est très court voire nul. Mais que signifie réellement « bien travailler en prépa » en fait ? c’est essentiellement travailler très régulièrement : les leçons du jour doivent être relues, les exercices et les démonstrations refaits le soir même.

La quantité de travail est bien plus importante qu’en terminale : au minimum deux interrogations orales par semaine, un devoir surveillé (et éventuellement un devoir maison) ; ce qui suppose une organisation rigoureuse et un travail permanent (tous les jours, même le week-end, un peu moins soutenu en vacances mais tout de même régulièrement). Une journée de retard dans le travail est difficile à rattraper, vous ne pouvez pas vous permettre de les laisser s’accumuler.

Si vous n’avez pas classe exceptionnellement un matin, levez-vous quand même et prenez de l’avance sur le travail à venir.

On ne vous le dira jamais assez, ANTICIPEZ.

La régularité est un facteur clé mais la quantité a également son importance : il faut s’attendre à travailler tous les jours 2-3h avant le repas du soir … et tout autant après. En revanche, il est contre productif de travailler après 23h, veillez à profiter au maximum des heures avant le repas (en restant travailler sur place, en bibliothèque si besoin). Si vous travaillez après ces horaires, quelque chose est à revoir au niveau de votre manière de faire.

L’internat est un excellent choix pour ces raisons : les tâches domestiques sont réduites au minimum, le temps de trajet est écourté au maximum, des salles d’études (avec manuels) sont à disposition et une entraide entre les élèves s’installe.

Ne négligez pas les matières à faible coefficient : ce sont souvent elles qui permettent au final de départager des élèves et certains concours demandent un niveau minimum dans ces matières (le concours Mines-Pont fixe une barre pour les matières scientifiques et une barre pour les matières littéraires par exemple)

Si le travail est une part très importante de votre vie en prépa, n’oubliez tout de même pas de vous ménager des « à côté », sinon l’épuisement moral et physique vous rattrapera vite. Si vous pratiquez un sport ou un loisir vous pouvez le conserver à raison d’une ou deux heures par semaine, mais oubliez l’idée de continuer à faire des compétitions qui demandent trop d’investissement. Voilà l’idée globalement.

Des astuces pour vous aider concrètement ?

  • Faites des post-it avec les formules à connaître / listes de vocabulaire et collez les autours du miroir de la salle de bain, ainsi en vous brossant les dents, vous les aurez sous les yeux et en les lisant un petit peu chaque jour, vous les assimilerez.
  • Un livre de type « formulaire » est un investissement très intéressant à réaliser. Ainsi vous aurez à portée de main et dans un format compact l’intégralité des formules.
  • Fichez votre cours à chaque fin de chapitre.
  • Si vous avez un temps de transport important, essayez de le mettre à profit après une courte pause.
  • Elaborez un planning (surtout concernant les révisions) et essayez de vous y tenir au maximum.
  • Si vous avez des absences prévues, anticipez le travail à venir, prévenez vos professeurs, organisez vous à l’avance pour rattraper les cours (une heure de cours en prépa correspond en moyenne à une ou deux copies doubles pour une écriture moyenne)
  • N’oubliez pas de dormir ! 6h par nuit est un minimum.

Evidemment, chacun adaptera ces conseils en fonction de ses besoins, chaque personne ayant un fonctionnement différent.

 

DEVENIR VETERINAIRE EN FRANCE : comment passer du rêve à la réalité.

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Vétérinaire, souvent un rêve d’enfant

Vétérinaire est depuis longtemps un métier qui passionne beaucoup d’enfants, passionnés par les animaux, domestiques en particulier et rêvant de passer leur vie à s’occuper d’eux.

En creusant un peu, ils s’aperçoivent que les vétérinaires interviennent dans des contextes très différents : certains se sont spécialisés sur les animaux de fermes, de zoo ou encore dans les écuries de chevaux de course… d’autres gèrent des cheptels en Afrique, s’occupent des orangs outans de Sumatra ou travaillent à sauver et réintroduire des espèces en souffrance dans des zones naturelles protégées.

Mais ce qu’ils savent moins, c’est qu’avec les révolutions que connait la biologie, le vétérinaire, véritable leader de la filière est de plus en plus impliqué dans les problématiques d’environnement, d’agronomie ou encore de biotechs. Les grands laboratoires de recherche s’arrachent d’ailleurs ces profils aux compétences multiples.

Vétérinaire aujourd’hui : de médecin pour les animaux à ingénieur de la filière animale

Le vétérinaire, vu majoritairement comme « le médecin des animaux » est en effet aujourd’hui davantage un ingénieur spécialisé sur la production animale :

  • il contrôle l’hygiène et la sécurité des denrées alimentaires destinées à l’homme,
  • il est responsable de la production et de la distribution des produits pharmaceutiques destinés à soigner les animaux.
  • il est le partenaire incontournable des laboratoires de recherche publics (INRA, Institut Pasteur, INSERM…) mais aussi privés.

Notre sympathique médecin des animaux est en réalité un expert de haute volée ! Cela explique pourquoi l’accès aux Grandes Ecoles préparant à ce métier est si sélectif et pourquoi la préparation au si redoutable concours doit débuter très tôt, dès la classe de première S.

Passer du rêve à la réalité, en intégrant une des 4 Ecoles Nationales Vétérinaires (ENV)

Très réputées, ces ENV sont situées à Maison-Alfort, Lyon, Toulouse et Nantes. Elles recrutent sur concours à niveau Bac+2, principalement après une classe préparatoire BCPST principalement.

Les études y durent 5 ans et sont sanctionnées par un diplôme d’État de Docteur Vétérinaire (DEV). Outre un programme général, le parcours d’étude propose des spécialisations : par exemple, les animaux de compagnie, les équidés, la santé publique vétérinaire, la recherche ou encore l’industrie.

La prépa BCPST, voie royale pour intégrer une ENV.

En effet, 80% des élèves des Ecoles Nationales Vétérinaires proviennent de ces classes préparatoires.

Les deux années en prépa BCPST sont destinées à permettre aux étudiants d’acquérir les bases scientifiques indispensables pour réussir le concours des ENV. Tous les ans, 430 à 450 places sont ouvertes pour près de 3000 candidats. La sélection est donc très sévère, seuls ceux excellant dans toutes les matières, intégreront une ENV.

Être admis en prépa BCPST, nécessite donc d’être un excellent élève en terminale S, capable d’obtenir une mention bien ou très bien au bac.

D’autres concours permettent l’accès aux ENV en France, mais elles n’offrent que très peu de places (15% des places offertes par le concours A) : le concours B pour les titulaires d’une licence bio, le concours C, ouvert aux diplômés BTS ou DUT, ou le concours D, réservé aux étudiants en médecine, en pharmacie ou en odontologie (pas plus de 2 places disponible).

Attention au mirage des études vétérinaires à l’étranger !

Parfois effrayés par la difficulté de réussir véto à l’issue d’une prépa BCPST, certains étudiants optent pour une formation vétérinaire à l’étranger, car les études y seraient plus faciles. L’analyse approfondie de l’ensemble des formations vétérinaires dans le monde démontre pourtant que les cursus sont à peu près identiques.

Les étudiants français se trompent donc en imaginant que le niveau des études vétérinaires est plus accessible hors de France. Certes, le numérus clausus varie d’un pays à l’autre, tout comme le processus de sélection. Mais attention, une intégration semblant plus « ouverte » en première année, cache souvent un processus d’élimination rigoureux tout au long de la scolarité. C’est le cas en Belgique où, jusqu’à la dernière année d’étude, un élève peut être exclu de la filière véto ! On notera également que l’admission des français s’y fait … par tirage au sort !

Par ailleurs, les taux de redoublement en première année en Europe sont très dissuasifs…  Ajoutons à cela les problèmes d’adaptation, de langue, de logement, les coûts de scolarité parfois exorbitants (Espagne) qui mettent les étudiants étrangers en situation inconfortables et le tableau sera assez complet des difficultés rencontrées.

La prépa BCPST reste donc la voie d’accès la plus adaptée pour intégrer les Ecoles Nationales Vétérinaires :

  • 80% des vétérinaires actuels en sortent
  • Les matières enseignées trouvent leur naturelle continuité en école vétérinaire.
  • Les méthodes de travail que l’on y apprend forment parfaitement aux exigences du métier de vétérinaire.
  • Les alternatives, si l’élève ne réussit les ENV sont de haut niveau : Ecole des Mines, Polytech, AgroParisTech … 100% des élèves intégreront donc au moins une école d’ingénieurs en sortie de prépa.